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Devenez entrepreneur, changez le monde

Devenez entrepreneur, changez le monde
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Introduction

Bonjour et bienvenue dans ce nouvel Ă©pisode de la RĂ©volution Mastermind Attraction, le blog oĂč le pouvoir du mastermind, combinĂ© Ă  celui de l’attraction, vous permet de devenir un entrepreneur et de changer le monde.

Dans l’épisode prĂ©cĂ©dent, intitulĂ© « Je sais quoi faire, alors pourquoi je ne le fais pas ?« , nous avons explorĂ© comment nos pensĂ©es, nos Ă©motions et nos croyances peuvent parfois nous emprisonner, limitant notre capacitĂ© Ă  agir et Ă  rĂ©aliser nos rĂȘves.

Mastermind Attraction se trouve encore piĂ©gĂ© dans un cycle sans fin, oscillant entre un optimisme naĂŻf et un pessimisme Ă©clairĂ©. Va-t-il tomber dans le piĂšge fatal de l’entrepreneuriat ? Parviendra-t-il Ă  construire l’entreprise de ses rĂȘves ? RĂ©ussira-t-il Ă  passer le test ultime de l’adĂ©quation produit-marchĂ© ?

Vous le saurez en suivant la suite des aventures de Mastermind Attraction !

Aujourd’hui, je vous ai concoctĂ© un article Ă©picĂ©. C’est mon coup de gueule envers la sociĂ©tĂ© actuelle et les changements que je souhaite voir dans ce monde.

  • Une enquĂȘte mondiale menĂ©e par Gallup en 2024 montre que 93 % des travailleurs français ne se sentent pas engagĂ©s dans leur travail ou sont activement dĂ©sengagĂ©s (source ici).
  • Entre 2014 et 2021, la consommation d’antidĂ©presseurs chez les mineurs en France a augmentĂ© de plus de 62% (source ici).
  • En 2010, 35,1 % des 15-85 ans dĂ©clarent avoir pris au moins une fois, au cours de leur vie, un mĂ©dicament psychotrope, et 17,8 % en avoir consommĂ© au cours des douze derniers mois (source ici).
  • Selon l’OMS, la dĂ©pression et l’anxiĂ©tĂ© liĂ©es au travail coĂ»tent 1 000 milliards de dollars par an en productivitĂ© perdue (source ici).
  • 81 % des entrepreneurs français se disent heureux au travail (source ici).

Je ne cherche pas Ă  mettre tous les salariĂ©s dans le mĂȘme panier, mais il faut dire les choses : le salariat offre un confort apparent qui s’avĂšre ĂȘtre un piĂšge pour l’épanouissement personnel.

Cette stabilitĂ© de façade est en rĂ©alitĂ© une camisole de force oĂč l’individu se perd dans la routine et le confort, incapable d’explorer ses vĂ©ritables potentiels. L’aventure entrepreneuriale est la seule alternative Ă  une libertĂ© authentique. Elle permet un contrĂŽle accru sur sa vie, plus de flexibilitĂ© et un sentiment de contribution plus tangible Ă  la sociĂ©tĂ©.

Il est temps de distinguer les emplois vraiment utiles, qui contribuent au bien-ĂȘtre collectif, des emplois inutiles, souvent crĂ©Ă©s pour servir les puissants.

Beaucoup d’emplois actuels semblent exister uniquement pour protĂ©ger les riches et compliquer la vie des autres. Si vous travaillez dans une des industries que je vais citer tout au long de cet article, je parie que, comme moi Ă  une Ă©poque, vous ressentez un certain mal-ĂȘtre.

L’industrie pharmaceutique ressemble de plus en plus Ă  une fabrique de malades plutĂŽt qu’à un secteur de soins. Nous vivons dans un monde oĂč les mĂ©dicaments soignent les symptĂŽmes, mais laissent intactes les causes profondes des maladies, voire les aggravent. C’est un cercle vicieux parfaitement orchestrĂ© : les produits pharmaceutiques entretiennent une dĂ©pendance chronique, et pendant que nous souffrons, cette industrie prospĂšre. Le bien-ĂȘtre, quant Ă  lui, passe par des alternatives naturelles, souvent ignorĂ©es car elles ne sont pas rentables pour les gĂ©ants de la pharma.

Le nuclĂ©aire est vendu comme une solution moderne et avancĂ©e, mais en rĂ©alitĂ©, c’est une technologie dĂ©passĂ©e et dangereuse. Pendant ce temps, les Ă©nergies renouvelables pourraient littĂ©ralement rendre l’énergie gratuite et accessible Ă  tous. Mais ce n’est pas rentable pour les grandes entreprises du secteur Ă©nergĂ©tique, alors nous restons prisonniers d’un systĂšme archaĂŻque, car ces technologies ne rapportent pas aux puissants.

Tant que nous serons dirigĂ©s par des politiciens corrompus, la paix restera une chimĂšre. Les guerres, qu’elles soient gĂ©opolitiques ou Ă©conomiques, sont des affaires lucratives pour certains. C’est tout un systĂšme : on vend des armes, on dĂ©truit, et on reconstruit en s’enrichissant au passage. La machine Ă  faire de l’argent sur le dos des peuples est bien huilĂ©e. La guerre n’est pas un accident, c’est un business plan millimĂ©trĂ©.

La politique est devenue une façade, un spectacle permanent orchestrĂ© pour donner l’illusion du changement. Mais au fond, les marionnettistes restent les mĂȘmes : grandes entreprises, lobbies, et puissants tirent les ficelles. Les politiciens ne sont que des pions au service d’un systĂšme qui maintient la population sous contrĂŽle. Et pendant que le peuple se divise autour de dĂ©bats superficiels, ceux qui tiennent les rĂȘnes s’enrichissent discrĂštement.

La justice, aujourd’hui, est un outil utilisĂ© par les puissants pour Ă©craser les plus faibles. Les lois se multiplient, rendant la sociĂ©tĂ© toujours plus complexe, et seules les grandes fortunes ont les moyens de les contourner. La libertĂ©, quant Ă  elle, s’érode. Sous couvert de protection, on impose des restrictions de plus en plus sĂ©vĂšres, des surveillances de plus en plus Ă©troites. Nous Ă©changeons nos libertĂ©s contre une illusion de sĂ©curitĂ©.

Le fast-food, c’est de la malbouffe dĂ©guisĂ©e en plaisir. Les gĂ©ants de l’alimentation crĂ©ent des produits qui nous rendent accros, nous font grossir, et alimentent ainsi l’industrie pharmaceutique. En effet, plus nous consommons ces produits, plus nous tombons malades, et plus nous avons besoin de mĂ©dicaments. C’est un cercle vicieux oĂč tout le monde y gagne, sauf nous. La nourriture saine, celle qui guĂ©rit et renforce, est volontairement rendue inaccessible ou dĂ©criĂ©e comme Ă©litiste.

La technologie, autrefois synonyme de progrĂšs, est devenue un outil de surveillance. Chaque avancĂ©e technologique semble s’accompagner d’une Ă©rosion de nos libertĂ©s individuelles. Les gĂ©ants du numĂ©rique exploitent nos donnĂ©es, nos comportements, et mĂȘme nos pensĂ©es pour mieux nous contrĂŽler, nous vendre ce qu’ils veulent, et orienter nos choix. Sous prĂ©texte d’amĂ©liorer nos vies, on nous prive peu Ă  peu de notre autonomie et de notre vie privĂ©e.

L’éducation, censĂ©e ĂȘtre un moyen d’émancipation, est en rĂ©alitĂ© devenue une fabrique de conformistes. Le systĂšme Ă©ducatif ne nous apprend plus Ă  penser, Ă  remettre en question, ou Ă  innover, mais Ă  suivre docilement des modĂšles prĂ©Ă©tablis. L’école forme des employĂ©s, pas des entrepreneurs. Elle enseigne l’obĂ©issance, pas la crĂ©ativitĂ©. Ceux qui osent sortir du cadre sont souvent marginalisĂ©s. Ce systĂšme ne sert pas l’épanouissement de l’individu, mais la perpĂ©tuation d’un ordre social profitable aux puissants.

Cet article n’est pas seulement un coup de gueule, c’est un appel à l’action. Un appel à briser les chaünes d’un systùme qui nous enferme dans des rîles, des emplois et des habitudes qui ne servent qu’à maintenir un statu quo profitable pour quelques-uns.

L’entrepreneuriat est bien plus qu’un simple choix de carriĂšre. C’est un acte de rĂ©bellion, une maniĂšre de reprendre le contrĂŽle de sa vie et de contribuer rĂ©ellement au changement que vous voulez voir dans le monde. Vous ne construisez pas seulement une entreprise : vous crĂ©ez une nouvelle rĂ©alitĂ©, libĂ©rĂ©e des limites imposĂ©es par les industries obsolĂštes, la bureaucratie et la corruption.

Dans un monde oĂč 93 % des travailleurs se sentent inutiles, oĂč des millions de personnes sont sous antidĂ©presseurs Ă  cause de leur emploi, et oĂč la productivitĂ© mondiale perd 1 000 milliards de dollars chaque annĂ©e Ă  cause du stress et de l’anxiĂ©tĂ©, il est Ă©vident que quelque chose doit changer. Les chiffres parlent d’eux-mĂȘmes, et c’est Ă  nous de prendre cette rĂ©alitĂ© en main.

Devenir entrepreneur, c’est reprendre le pouvoir, c’est refuser le confort du statu quo pour construire quelque chose de nouveau. Vous avez en vous la capacitĂ© de redĂ©finir ce que signifie travailler, vivre et contribuer au bien commun. Alors, osez prendre ce chemin, quitte Ă  sortir de votre zone de confort, car c’est en devenant entrepreneur que vous pourrez vĂ©ritablement changer le monde.

J’espĂšre que cet article vous a plu, n’hĂ©sitez pas Ă  me le dire dans les commentaires. On se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures Mastermind Attraction !

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